Lettre hebdo #4

Lutter, pour préserver notre planète

Le reportage de la semaine s’intéresse à celles et ceux qui tentent de lutter contre les pratiques qui aggravent les changements climatiques, dans des contextes où l’État ne s’y attelle pas. L’autrice française Wendy Delorme utilise les codes du roman d’anticipation pour proposer un ode à la lutte dans un monde en crise. L’océanologue libanais Abed el Rahman Hassoun, qui a créé un réseau Méditerranéen pour faire collaborer les chercheurs sur la question de l’acidification des océans, a une phrase qui résume la nécessité de l’engagement de chacun.e d’entre nous : « Nous avons besoin d’une révolution à l’échelle du phénomène auquel nous faisons face ».

« Viendra le temps du feu » : une dystopie poétique et une ode à la lutte

« Viendra le temps du feu » : une dystopie poétique et une ode à la lutte

Dans une planète épuisée, où le corps et l’esprit sont encadrés, des groupes de personnes résistent et luttent pour proposer un autre modèle de société. L’autrice Wendy Delorme invite l’écoféminisme dans son nouveau roman où la vision du futur permet d’alerter sur l’urgence d’agir.

Abed el Rahman Hassoun : « Nous devons collaborer à l’échelle de la région afin d’augmenter la résilience de nos écosystèmes »

Abed el Rahman Hassoun : « Nous devons collaborer à l’échelle de la région afin d’augmenter la résilience de nos écosystèmes »

Abed el Rahman Hassoun est à l’origine de la création du réseau Méditerranéen sur l’acidification des océans (Med Ocean Acidification hub) qui réunit des scientifiques de 9 pays de la Méditerranée. Le Libanais diplômé en océanologie et membre du CNRS Liban vit aujourd’hui en Allemagne d’où il coordonne le réseau pour plus d’échanges et de collaborations entre experts de tous les pays de la Méditerranée.

À Ankara et Beyrouth, ils se mobilisent sans l’aide de l’État

À Ankara et Beyrouth, ils se mobilisent sans l’aide de l’État

Comment faire entendre la nécessité de s’adapter au changement climatique, quand votre Etat fait faillite ou quand il soutient sans limite l’extraction d’énergies fossiles. A Ankara, comme à Beyrouth et Tripoli, fermiers, associations, particuliers tentent de mobiliser à leur échelle.

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Au secours de la biodiversité marine en danger